Rix Maadi ... Palais des enfers ? Ça y ressemble et ça y ressemblerait plus si les cris des torturés n'étaient pas étouffés par les matériaux du Palais Donjon. Sur le bord d'une rivière sulfureuse se dresse la forteresse des Rakdos, lieu principal des rituels les plus sombres et de la violence gratuite au nom du Démon Rakdos.

Lyzolda, gardienne de la forteresse dans laquelle sommeille Rakdos, a pour philosophie le sadisme et le sacrifice (des insubordonnés). La durée de vie dans la Guilde est variable entre 2 minutes et plusieurs dizaines années. Cela dépend de son utilité "vivant" dans la Guilde. Elle cherche un apprenti sorcier en magie noire pour l'initier a ses sciences occultes.

L'annexe est dédiée au divertissement et à la luxure vous pourrez y trouver de temps en temps dans la salle réservée au riches personnalités ... des patriarches d'Orzhov. Sinon pour engager des hommes de main, prostituées, tueurs, chasseurs de prime et autres métiers aussi utiles qu'il peut être honteux pour un Azorius de se trouver à Rix Maadi en compagnie de Shyralia l'embraseuse de "mâles".

Ici les Rakdos s'amusent, la luxure est maîtresse, l'alcool coule à flots, les membres les plus sombres de la Guilde Rakdos viennent s'y détendre.
Vous y trouverez aussi des gens qui veulent s'y faire oublier là où aucune autorité ne viendrait les chercher.

Lieu où l'on emprisonne, jette les intrus, ou les gêneurs. Mais aussi les ennemis inutiles aux rituels de Lyzolda.
On peut parfois sortir des oubliettes par miracle en tombant sur l'annexe de torture. Les plus chanceux sont ainsi torturés avant généralement d'être renvoyés dans les oubliettes.

Ces endroits abritent des genres d’arènes divertissantes… du moins pour les Rakdos, car la sobriété des arènes s’arrête là. Celles-ci sont truffées de mécanismes divers et variés, plus ou moins complexes, qui s’activent comme des mines. Lorsqu’on pose le pied dessus, ça se déclenche. Et voici l’utilité monstrueuse de ces carnariums. L’espace des arènes étant réduit, les prisonniers encore vivants sont lâchés par petites quantités dans les dits lieux… et l’horreur s’ensuit.
Déchiquetés, broyés, coupés, hachés, brûlés, voici les plus fréquentes facettes des occupants de l’arène après la « fête ».

« Existe-t-il des survivants ? » demanderont les gens, horrifiés de ces faits.
Vous leur répondrez : « Oui, il existe des personnes ayant survécu. Pas longtemps, mais elles ont survécu ! »
Car là est l’horreur, après l’horreur. Les rares survivants, heureux de leur victoire, ne le sont qu’un court instant. Ils sont déportés vers maîtresse Lyzolda, qui s’occupe d’eux comme il faut. L’armée rakdos a toujours besoin de bras, et ces personnes font un choix de qualité, car ils sont robustes, et ne connaissent pas la peur… Ils sont morts, certes, mais ils continuent de vivre au travers de la volonté de ce culte, immonde pour certains, amusant pour d’autres…

Description faite par Rahinov.