Divagation d'un Elf pyromane.

Ne tenant plus en place, il se leva d’un bond et se cogna contre l’escalier, se qui l’assomma.
Profondément inconscient, il en sombra dans les tréfonds de son âme. Et son âme s’était dissocié, depuis longtemps, depuis toujours peut-être, en deux parties distinctes. L’une étant réflexion et raison, astuce et persévérance, passion et dévotion. L’autre n’obéissant à aucune règle, se dressant même contre celles apposées, une folie, un tourment, une rage et une haine sans fin, brulante et chaotique.

La première question, la plus évidente, et surement celle à laquelle il ne pourra jamais répondre complètement, c’est « Pourquoi ? ». Pourquoi est-il si tourmenté, d’une part par une appréhension de tout se qu’il fait, une lumière qui analyse tout ses faits et gestes, et qui peu à peu deviens du remord, et d’autre part par ce sentiments de plaisir, cette jouissance infinie qu’il ressent en engendré le chaos, propagé le feu et le sang, détruire se qui se dresse devant lui… Oui, pourquoi une telle opposition dans le même corps ? On pourrait trouver une partie de la réponse dans ses gènes, où si l’on avait entendu l’histoire de cette Dryade qui n’est plus qu’un ombre, où d’un vieux Rakdos se ventant d’un millier de viols, mais Yarkol n’en auras probablement jamais connaissance, et le reste du monde non plus. Lorsque cette question résonnait dans sa tête sa réponse se trouvait bien ambigu, il mettait son pseudo remord sur le compte d’une trop longue fréquentation avec les chamanes les plus pacifistes, et pensait que ce sentiment s’effacerait d’ici peu. Quand à sa soif d’anarchie, il pensait qu’elle était normal, qu’en ce bas monde tout le monde a ceci au fond de sois, et que les plus francs le font ressortir de la même manière que lui.

Il suffisait d’attendre, patienté jusqu'à se que disparaisse la fausse lumière, celle qui le rend triste quand il tue sans plaisir particulier, jusqu'à se que disparaisse cette pensée malsaine qui lui souffle de ne pas se fier à l’argent ou a des valeurs extérieurs pour justifier la mort. Cette voix lui était pourtant propre, il la savait totalement sienne, elle n’avait que la notion de justice qu’il s’était lui-même forgé. En effet cette partie de lui justifiait assez souvent ses choix, et trouvait elle aussi une part de satisfaction dans la mort de certaine personne le dérangeant profondément, celles envers qui il vouait une haine profonde et sans faille. Cette subtilité était surement la raison pour laquelle Yarkol n’avait pas choisi d’enterré littéralement cette partie de lui. D’autre part, sans cette réflexion incessante, sans ces raisonnements réfléchis qu’elle émet, ces idées ingénieuses, sa partie la plus cruelle en serait moins belle, moins grandiose, imparfaite. Ainsi ces deux partie, qu’il appela Conscience et Envie, formaient un tout, un tout opposé et source de tourment, qu’il lui faudrait apprendre à contrôlé, a manipulé, parfois même a ignoré, pour devenir Sa perfection. C’est sur cette dernière idée qu’il s’éveilla.

Il s’était tout au plus écoulé dix secondes, il se massa la tête de la main gauche et sortis discrètement de sa cachette. Il monta doucement les marche, un léger gargouillement l’inquiétait, il sortit immédiatement sa dague. Lorsqu’il fut enfin en haut des marches, il eu une surprise des plus étranges : Un homme se tenait maladroitement debout, le regard vide et globuleux. Sa tenue, une tenue Izzet, était tachée de sang. Le malheureux avait la gorge sectionné assez profondément, le sang giclait de cette plaie béante, d’où s’échappait d’étranges gargouillis.
L’Elf éclata de rire, un rire satirique et moqueur, suite a quoi il reprit son calme, car il lui semblait que la créature tentait de communiquer. Cependant, elle ne tenait pas vraiment bien sur ses jambes, et sa blessure coulait si abondamment qu’aucune parole n’était compréhensible. Un glouglou pathétique s’échappait misérablement de la goule, suivit d’une longue complainte, triste et frustrée.

Il ne tirerait rien du cadavre sur patte, il réfléchit donc aux possibilités. Ce mort c’est relevé, très bien. Pour se qu’il en savait, les Izzet mort sont comme les Gruuls mort : un tas de viande froide inerte.
Celui-ci est donc debout pour une bonne raison. Et cette raison vient surement de la personne qui lui a sectionné la gorge. Cette personne ne pouvait pas être loin, car Yarkol était sous les marches lorsque le corps s’écroula, quiconque serait sortis serait passé par les marches, car c’était le plus rapide. Sauf si cette personne savait que l’escalier était risqué. Donc soit quelqu’un est en ce moment même en train de consulté une des salles que Yarkol avait eu le plaisir de visité, sois quelqu’un sait qu’il est la depuis le début et le laisse en vie pour faire diversion. Il est fort probable qu’on se serve de lui ainsi, puisqu’il avait lui-même eu cette intention.

Il sortit sa dague et fixa le zombie devant lui. Il était prêt a engagé le combat contre la marionnette, mais il préférait d’abord savoir où se trouve celui qui la contrôle

La position assise de la Simic, ainsi que son air décontracté, beaucoup trop décontracté, montrait qu’elle n’avait rien à craindre de l’Elf. Le fait qu’elle parle plutôt que de s’aider de son nécromana pour le réduire en goule écervelé signifiait qu’il avait une chance de s’en sortir s’il la jouait finement.

« Bonsoir. » Répondit-il calmement.
Son regard fut attiré par l’étrange créature aux coté de la Simic. Il l’observa quelques instants puis admira les jambes de son interlocutrice avant de croisé son regard et de poursuivre :

« J’étais ici pour quelques courses, mais mes plans ont changé. Je suis en visite personnalisée et approfondie. Mais j’ai été interrompu. Il me semble que vous avez oublié un steak sur pattes, en bas. »
Le ton était ironique et se voulais comique. Ceci dit, l’Elf n’était pas vraiment doué pour l’humour.
« Et vous, je suppose que vous cherchez les toilettes, n’est-ce pas ? »

Il resta impassible malgré sa surprise, et tacha de ne pas prêté attention à la plaie béante qui déchirais la trachée de l’ex Izzet dans son dos. Il dévisagea la Simic, surpris pas une proposition si sereine, chose qu’il n’avait encore jamais connu sans avoir au préalable soulagé de quelques cotes.
« C’est avec grand plaisir que j’accepte. » Affirmas-t-il un sourire narquois sur les lèvres et le regard pétillant. La Simic lui plaisait, la crainte et le respect qu’elle lui inspirait se mêlaient au désir qu’il éprouve pour elle. Quoi de plus normal pour un jeune Elf dans la fleur de l’âge ? Cependant son instinct et ses sens étaient en alertes, il ne baissait pas sa garde et ne laissait rien paraître.

« Les dames d’abord, n’est-ce pas ? » Il ne voulait pour rien au monde se retrouver dos à elle et à la monstruosité qui lui sert de pantin. De toute façon, elle semblait connaître le bâtiment bien mieux que lui.

Quelle chance ! Si elle ne tentait pas de le tuer une fois qu’il l’aurais aidé a atteindre son objectif, il se promis de lui montrer sa gratitude par quelque moyen que se soit. En attendant il lui faudrait être prudent, et évité de se faire avoir comme un bleu. Après tout, les femmes sont des créatures bien viles, parfois.

Un silence lourd et étouffant, qui mettait Yarkol bien mal à l’aise. Il n’osait pas s’approcher, se demandant qui pouvait bien avoir frappé à cette fichue porte. Il était profondément perturbé par le fait qu’une personne, peut importe de quelle cotée elle se trouve, frappe a la porte plutôt que de la défoncer. Il sourit en se rappelant qu’il avait lui aussi essayer, sur la porte aux ornements. Il saisit sa dague et se cacha derrière une cuve, attendant que la Simic ouvre l’une des deux portes. Après tout peu lui importait, tant qu’il quittait cet endroit.
Il la fixa mais à son regard, on le devinait absent, dans ses pensées.

« Un membre de votre guilde vous accompagnait. Est-il possible que se soit lui, derrière cette porte ? Est-il aussi dangereux pour vous que pour moi ? »

En effet, il avait encore en mémoire le lancer de poignard qui lui avait perforé le muscle de la jambe gauche.
C’est en prononçant ces mots qu’il se rendit compte de la facilité avec laquelle il tomberait dans le plus basic des pièges. Le Simic était surement un assassin, il pouvait très bien être dans les environs depuis le début.

Reprenant ses esprits, l’Elf se dépêcha d’aller voir les inscriptions désigner par la Simic. Il était de plus en plus mal à l’aise avec cette femme. Ses tours, ses illusions, sa voix, ses formes, son odeur… l’odeur de sang qui la suivait…Comme si son paradis avait pris forme pour créer un enfer de plus, un tourment supplémentaire à son âme égarée. Un fantasme.
Les coups derrière la porte venaient surement d’un des hommes du service d’entretient. Il devait avoir trouvé le corps, il ne tarderait pas à alerté les gardes.
L’Elf se baissa et examina la tête du gobelin. Il fut surpris de constater que ce n’était que du gobelin courant. Il ne comprenait pas vraiment les premiers mots, il put tout de même déchiffrer, à voix haute:

« Entrer non pas pour découvrir, mais bien pour apprendre, non pas » Là, le texte se faisait plus trouble, complexe, le vocabulaire utilisé dépassait les compétences de Yarkol. Les gobelins Gruul ne parlait pas de la sorte, de plus l’écrit est plus compliqué à comprendre pour le jeune Elf. Il reprit plus loin :

« Mais pour apprendre la prudence et l’humilité, afin de faire perdre la tête aux (S) » Il grimaçait, il n’arrivait pas a comprendre le mot écrit, pourtant il était sur de le connaître. Le texte se terminait par « les rois de la foret »

En regardant les deux yeux narquois et moqueur de l’effigie de gobelin, il se rappela l’odeur de la Simic. Avait-elle tenté de l’hypnotisé ? Elle pouvait créer toutes sortes d’illusion, peut-être que se qu’il voyait d’elle n’était pas son vrai visage…
Il prononça à voix basse :

« Je ne comprends pas vraiment ce que ça veux dire… Et ça n’aide pas à ouvrir cette fichu porte. »

La Simic n’était pas loin de lui, il leva les yeux de ses pieds jusqu'à sa tête, profitant de la moindre de ses courbes. **Une illusion**, pensa t-il. Trop parfaite pour exister. Puis, baissant les yeux jusqu’à sa poitrine, **Une très belle illusion, tout de même. **

L’Elf retourna ces fichus inscriptions dans son esprit, essayant de faire le lien. « Non pas pour découvrir, mais bien pour apprendre », fichtre ! N’y avait-il rien à découvrir derrière cette porte ? Cette partie n’aidait pas beaucoup. Il réfléchit un instant à la suite. « Les rois de la foret », avec un « S », l’Elf ne voyait que les Sélésnyens. Leur faire perdre la tête ? Le simple fait que les Izzet existent leur faisait perdre la boule… Apprendre la patience et l’humilité pour leur faire perdre la tête…Patience et humilité…
L’Elf cherchait d’autres indices sur la porte, dans les ornements. Il cherchait un arbre, n’importe quoi en rapport avec le conclave. Yarkol se souvenait en avoir mis un très en colère en mettant le feu à un buisson. Le seul buisson des alentour, en fait. Un fou furieux lui avait sauté dessus en hurlant, puis avait lâché un louveteau sur le pauvre Gruul, qui réussi à le semer après une course endiablé.
Une chose gênait l’ancien Gruul. Retournant chaque mot sans sa tête, il s’aperçut de l’excentricité frappante des propos inscrit sur cette porte. Si la patience pouvait être reconnue chez certains Izzet, l’humilité n’était pas vraiment leur point fort. Ajoutant à cela leur soif de découverte toujours grandissante, il se mit à penser qu’un gobelin n’aurait écris cela que dans un élan de surestimation profonde de lui-même, montrant sa fierté au reste du monde et posant une énigme vaseuse. Il prit même l’effigie moqueuse pour ce gobelin en personne et cracha rageusement dessus.

« Patience et humilité pour rendre fou les Seles’ ? C’est à moi que tu fais perdre la tête, crétin ! »

L’Elf se reprit, cherchant quelque chose d’utile dans les reliefs. Il se retourna et s’adressa à la Simic : « Cherche donc quelque chose en rapport avec les Selesnyens et les Izzet, ou quelque chose qui fait sortir les yeux de ces fou du conclave hors de leurs orbites. Il y a peut-être le dessin d’une invention qui a pris très longtemps aux Izzet, ça parle de patience et d’humilité… »

Il se mit à palpé frénétiquement les reliefs, pressé de trouver une solution à ce casse-tête.

L’Elf grimaça, c’était un peu haut pour lui. Il prit appuis sur une bordure doré et palpa les deux symboles.

« Et maintenant, on leur fait perdre la tête. » répondit-il avec un petit grognement en fin de phrase sous l’effort qu’il fit pour pousser la tête du centaure en appuyant sur l’icône de son front.
La tête s’enfonça légèrement, mais rien ne se passa. Il devait s’être trompé.

Il sentit un tas de cliquetis dans le mur, de petits bruits secs, mais qui n’avais rien à voir avec son action sur la tête de centaure. Il lança un juron puis se retourna vers la Simic. Avant même qu’il n’ouvre la bouche, un choc d’une violence nettement supérieur aux autres ébranla la porte. Un autre de cette ampleur et la porte volerait en éclat, aucun doute possible.
La pression était presque palpable, l’Elf s’activa de plus belle, réfléchissant à l’énigme tout en appuyant successivement sur toute les reliures. Aucune autre ne s’enfonçait comme celle du centaure.
Mais il fut pris d’un doute, sa main glissa le long de sa ceinture jusqu'à y trouver sa dague. Il la serra et dit, tout en continuant de chercher :

« Vous vouliez que je serve de diversion, c’est ça ? Eh bien vous avez quelques minutes tout au plus pour ouvrir cette porte. Je m’en vais jouer mon rôle, faite donc le votre. »

A ces mots, il cessa de palpé les reliures d'or et courut en direction de la porte, sortis sa dague et arracha la chaine. Il recula de deux pas et attendit qu’on tourne la poignée.

**Vraiment pas pour moi les énigmes...L'action me manque, et je déteste être pris par surprise.**

La poignée s'abaissa aussitôt que Yarkol eut dégainé sa dague, avec une lenteur incroyable. Puis la porte s'entrouvrit. Le Gruul se raidit, prêt à se jeter sur sa proie... il esquiva de justesse la porte qui fut projetée avec violence, mais sauta sur le côté un instant trop tard et fut touché à l'épaule. Il tomba lourdement sur le sol pendant que la porte alla s'éclater avec un bruit infernal contre le mur opposé. Se relevant-réflexe de survie obligeant-aussitôt, il vit une silhouette se découper dans l'ombre de l'encadrement désormais dépourvu de porte.
C'était le Simic du hall qui entrait dans la pièce. Sous les yeux du pauvre Yarkol stupéfait, le grand chauve passa à côté de lui et l'ignora superbement, puis alla vers la femme et l'embrassa tendrement, longtemps.

"Qu'est-ce que tu nous as ramassé là ? Je croyais que tu voulais en faire une diversion de ce clochard, pourquoi être entré en contact avec lui ?"

La compagne du nouveau venu fit une moue enfantine que le sans-guilde ne put s'empêcher de trouver éminemment attirante, puis répondit.
"Il était si mignon et avait l'air si perdu, sans rien comprendre ... je voulais jouer un peu. En plus j'ai eu raison de faire ainsi, écoute ça !", ajouta-t-elle l'air surexcité."Il a pu traduire ces inscriptions, là-bas, alors que toi, tu n'aurais rien pu faire, hihihi. Et le voilà qui a pris la porte !"Le rire suraigu de la jeune femme semblait peu naturel, mais ne lui enlevait aucun charme, au contraire. Cette superficialité apparente ne la rendait que plus désirable. Yarkol nota que la voix de la femme n'était plus aussi rauque."Alors, c'était une histoire avec les dégénérés de Selesnyans, et il fallait aussi tordre le cou à quelqu'un.. ah tiens, je ne sais plus. Mon mignon, tu nous redis ça ?", lança-t-elle à l'adresse de Yarkol.

L'homme canalisa un hydromana sans avoir l'air de se soucier de la présence du pyromana dans les cuves ou des explosions autour de leur salle et se rapprocha de l'elfe toujours debout, qui n'avait pas osé bouger.
"Oui, raconte-nous. Ça m'a l'air très intéressant. Et tu vivras peut-être comme ça."

L’Elf sourit. **Une illusion, hein ? Saloperie de Simic manipulatrice. ** Mais intérieurement, l’Elf savait qu’il aurait agis de la même manière. Le grand chauve avait l’air moins joueur, et pas vraiment prêt à accepter ou suivre ses combines. La suite s’annonçait moins drôle.

Il hocha poliment la tête. Son épaule ne le faisait pas souffrir, sa chute ne l’avait pas non plus blessé. Il aurait un bleu tout au plus. Il se remit devant la porte, et expliqua.
« Entrer non pas pour découvrir, mais bien pour apprendre, non pas » Il pointa tout une zone de texte « Ici, je n’arrive pas à traduire. Je reprends là. » Il tapota du doigt l’endroit où il reprit : « Mais pour apprendre la prudence et l’humilité, afin de faire perdre la tête aux (S), je ne connais pas ce mot, les rois de la foret. J’en ai déduit que ça parlait du Conclave. J’ai appuyé sur la tête de centaure, en haut sur la gauche. Elle s’est à peine enfoncer. Dans le doute, j’ai appuyé sur le reste des reliures, mais aucune n’à bouger. »

Il s’écarta légèrement, laissant le soin au Simic d’analysé la situation. Il n’osait pas ranger sa dague. Il réfléchissait à la manière dont tout ça allait finir. Ce serait une fois de plus un beau bordel, mais l’arrivée du grand chauve promettait des choses plus complexes que prévu. Sans doute aurait-il moins de chance de tout faire explosé. Il mettait les deux Simics dans le même sac : des alliés de circonstance, qui se retourneront contre lui à la première occasion. La situation deviendrait tendue lorsqu’il ne leur sera plus d’aucune utilité. Il se sentait pourtant en sécurité. Cette ambiance tendue lui rappelait quand il était encore Gruul. Ne jamais faire confiance à personne. Il se demanda alors pourquoi est-ce qu’il faisait aveuglément confiance à Nihil, au point de mourir pour un caprice de celui-ci. Peut-être au fond avait-il besoin de faire confiance à quelqu’un. Quelqu’un de puissant, qui comprenait ses pulsions, quelqu’un qui le respectait à la fois pour se qu’il était et pour se qu’il était capable de faire. Il reprit ses esprits et guetta la réaction du compagnon de l’avaleuse de sang.