Magic The Gathering-Jdr
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Magic The Gathering-Jdr

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 Harald Muid'Hieb, Putré-fermier.

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Harald
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MessageSujet: Harald Muid'Hieb, Putré-fermier.   Harald Muid'Hieb, Putré-fermier. Icon_m18Ven 24 Juin 2016 - 19:22

Son esprit centenaire s'éveillait à peine, émergent de sa transe méditative. Il gérait sa grande et belle ferme même en dormant. Ses serviteurs travaillaient sans relâche, surveillant chaque plant, chaque carré d'humus, humidifiant ça et là ce qui avait besoin d'être humidifié, rependant des spores là où aucun vent ne soufflait plus.
C'était sa tâche. Il remplissait son devoir. Cent cinquante années de servitudes en tant que putré-fermier, sur la terre de ses ancêtres.

Comme d'habitude en cette fin de moisson, il avait fait sacrifier une trentaine d'enfants des rues. La plupart pourrissaient déjà sur les pics qu'il avait fait érigé et il faudrait bientôt les en détacher pour les incorporer à la terre. Mais certains vivaient encore, empalé comme des épouvantails. Bien sûr, ils ne criaient plus depuis plusieurs heures. Ils attendaient la mort, respirant à peine, leurs organes déjà infecté par l’épieu qui les transperçait.

Rien ne le touchait plus. Le cycle de vie et de mort avait imprimer en lui la lassitude et l'ennui le plus profond qui soit.
Sa patience, hérité de ses ancêtres nécromanciens et de ses propres méditations, était son trait de caractère le plus emblématique. Il n'avait rien de commun avec les humains qui grouillaient sur la surface. Son esprit calculait sur des décennies.

Il n’en avait pas toujours été ainsi. Dans sa jeunesse, dans son autre vie, dans ce qui avait été les cinquante premières années de son existence, qu’il considère comme son enfance, il en avait été autrement.
Car il avait été jeune et fou, il avait été amoureux, il avait été, et puis tout était mort. Il avait comme bien d’autre avant lui défié la mort, il l’avait dompté, ou du moins avait-il cru le faire. Il avait imposé sa volonté, non pas de façon implacable et froide, mais avec son cœur battant et sa colère, avec sa peine, toute la peine qu’il avait eu en perdant son amour. Mais rien ne ramène l’amour et surtout pas les morts. Alors il avait appris, dans les bras de l’Essaim, que ce qui fait battre votre cœur vous rend faible, que si votre cœur bat trop son martellement incessant vous rend fou. Et que cette folie est la véritable mort, car rien ne ramène l’esprit à la raison. Mais l’Essaim l’avait sauvé de son triste sort, de son erreur. L’Essaim, sa seule famille, son éternelle mère. L’Essaim, le guide à travers le cycle infinie. Le phare dans l’éternité. Quel réconfort. L’unique réconfort pour un cœur mort. L’Essaim l’avait sauvé de la folie et de la damnation. Il servirait l’Essaim, il prendrait sa place dans le monde et cultiverait les champs. C’était sa rédemption. Son contrat.

Il avait fusionné avec sa chaise depuis presque quinze ans maintenant, mais déjà bien avant, il ne se déplaçait plus. Il vérifia mentalement que tout était en ordre. Au travers des mêmes positions stratégiques, au travers des mêmes millier d'yeux de larves qui prospéraient entre ses récoltes. Il suivait une routine assourdissante, c'était comme une agonie éternelle. Mais il faisait son devoir avec la même rigueur toutes les dix heures, avant de se rendormir, de ce sommeil particulier qu'ont les êtres encore connecté à leur entourage une fois leurs yeux clos.

Mais aujourd'hui était un jour spécial. Il l'avait attendu, il l'avait préparé. Son attention se focalisa sur deux de ses serviteurs. Plus précisément sur les larves qui nichaient au creux de leurs orbites inutiles. Les deux serviteurs portaient la lourde cargaison de champignons qui assurerait la survie d'une bonne centaine d'âmes pour une longue semaine.
Ils trainaient chacun un long et lourd charriot plein de ses champignons comestibles bien frais. A dire vrai, ils étaient plutôt fameux, si l'ont considère le gout abominable de l'ensemble des productions Golgari.
Ils avaient certes un léger gout acide, laissé par la terre riche en cendres dans laquelle ils avaient poussé, mais leur cœur était tendre et rien ne pouvait entacher leur petite touche sucrée. Ils n'avaient rien de cette mousse infect, cet amas de fange produit dans les fermes alentours.

Les deux serviteurs achevèrent la 100 589ème livraison, dernière livraison marquant la fin des quatre vingt années de services due à la communauté. Sa tâche. Son unique tâche avait été accomplie.

Les yeux du vieux Putré-fermier se plissèrent. Ses doigts se crispèrent sur son siège et pour la première fois depuis de nombreuses années, ses bras poussèrent longuement sur les accoudoir pour l'extirper de l'étreinte des plantes qui s'étaient enroulées autour de ses jambes et de son bassin. Il ne portait qu'une longue robe poussiéreuse, raidie par des années passé sans bougé dans l'humidité. Ses articulations grincèrent et il lui fallut dix bonnes minutes pour retrouver un semblant de mobilité.

Debout, il avança avec une lenteur cadavérique jusqu'à la petite armoire devant lui et en sortit un livre étrangement propre. La couverture lisse faite de cartilage était intact, et chaque page en peau humaine extrêmement épaisse, voyait gravé sur toute sa surface une série de runes et de signes compliqués.
Ses souvenirs. Son enfance. Son flirt avec la mort. Tout ce qu’il restait de ses machinations futiles était gravé dans les chaires mortes de ce livre. Il se souvenait des âmes qu’il avait enfermé. Des armes qu’il avait crées. Des terribles plantes qu’il avait entretenu, des cadavres qui les nourrissaient. La puissance qu’il avait chercher. Celle qu’il avait obtenu. Sa volonté, sa volonté troublé par son coeur fragile. Par la seule qu’il n’avait pas pu ramener. La renaissance est une étape. La renaissance n’est pas un résurection. Pas pour l’âme. Ce qui est mort ne peut mourir, ce qui ne peut mourir ne vit pas. L’amour n’existe que dans la vie. C’est une triste leçon qu’il avait appris. Il n’y a pas de futilité dans l’éternité, il n’y a ni passion ni force. Le temps gomme tout et la perspective de l’éternité lime encore l’âme innocente. Il fallait chérir le souvenir. Et avancer. Le cycle ne revient jamais en arrière, c’est un éternelle recommencement, qui pourtant n’est jamais le même. Jamais. Jamais le même.
Jamais elle ne serait plus la même. Jamais plus il ne pourrait être le même. Et pourtant ils avaient tout deux avancé.
Il caressa les pages du livre, avec une tendresse coupable.
Il sourit et sa bouche fripée commença à retrouver ses couleurs. Le livre était un symbole. Son esprit avait parfaitement appris toutes les formules qui y sont inscrites. Il le connaissait comme on connait son conjoint. Quand on semble tout comprendre et tout maitriser, la subtilité, la beauté de l’art nous échappe et tout est à refaire. Il le glissa dans un sac en cuir posé sur sa table il y a déjà quinze ans. Il redécouvrirait ce livre pour les siècles à venir.



La petite pièce dans laquelle il vivait était entièrement recouverte de plantes et de poussière. L'humidité avait permis à toutes sortes de moisissures et de champignons de prendre place, ainsi qu'à un tas d'insectes plus ou moins dangereux. La pièce avait un écosystème qui lui était propre.
De longues séries de pierres et de plantes parcouraient le sol et s’entremêlaient. En réalité, le sol n’en était pas un. C’était les reste d’une armée jadis levée par un fou. Un souvenir. Il se tenait sur tout ce qu’il avait été et toutes les erreurs qu’il avait commises. Jamais il n’avait détourné les yeux, jamais il n’avait chercher à fuir. Il avait vécu ses cent cinquante années de repentance dans la même demeure que tous ceux qu’il avait entrainer dans sa folie, dans sa chute vers les ténèbres. Son voyage se devait de commencer ici. La voie qu’il suivait ne pouvait pas avoir meilleur début que ce sol fait de cadavres. Son pouvoir ne l’aveuglerait plus jamais.
Une vieille porte en bois grinça et un serviteur mort vivant entra. Il était fait d'un enchevêtrement de plantes et de mana noir tissé avec attention autour d'une carcasse de troll mal conservée. Haut de deux mètres cinquante, la créature était massive mais se déplaçait avec une agilité surnaturelle.

Alors d'une voix profonde et caverneuse, il lança avec malice :

"Bonjour, Kijharn. Enfin libre, toi aussi?"

Bien sur, le serviteur ne répondrait pas. D'une part parce qu'il n'avait plus de cordes vocales et d'autre part parce qu'il n'était qu'une marionnette sans volonté, animé par la magie.


"Oui, oui, j'entends bien. Parfait. Bien sûr que tu viens avec moi. Après ces longues années de services, tu mérites bien ce petit voyage toi aussi."

Le serviteur ne bougea pas d'un pouce, aussi immobile que la mort elle même, il semblait fixer l'armoire encore ouverte. Un second serviteur attendait derrière lui. Dans la ferme, quatre créatures faites de plantes s'écroulèrent. Elles n'avaient plus de raison d'être. Et le Putré-fermier avait besoin de toutes les forces qu'il lui restait. N'avait-il pas préparé ce voyage toute sa longue vie?

Il voulait le faire ainsi. De son vivant, alors que l'air filtrait encore au travers de ses poumons fatigués. Il voulait sentir le souffle clair de l'air de la surface. Le soleil sur sa peau ridée. Le parfum des vivant, le foisonnement de la vie. Il voulait être vivant parmi les vivants, une dernière fois. Avant de rejoindre l'Essaim pour reprendre du service, un mort parmi les morts. Sa fin ne lui faisait pas peur. Il l'attendait même avec une certaine impatience, parce que le cycle ferait de sa fin un début, une révélation. Mais il avait la conviction qu'il lui fallait voir le monde avec ses yeux de vivant. Qu’il fallait éprouvé une dernière fois son vieu coeur avant de l’abandonner, avant qu’il ne rejoigne l’humus et ne nourisse la surface.

Son corps fatigué, usé, abimé par le temps ne lui permettrait pas de revisiter quel-qu’endroit que se soit. Il avait donc, durant les vingt dernières années, planifié mentalement chaque étape de son premier et dernier voyage.
Il connaissait ses réserves, son pouvoir et ses limites. Il avait exactement vingt ans, s'il ne faisait pas trop de folie. Vingt ans pour parcourir Ravnica de long en large. Après quoi ses forces l'abandonneraient définitivement. Passer ce délais, le reste du chemin se fera sous son autre forme. Sa forme éternelle.

Le serviteur nommé Kijharn ramassa un sac conséquent, préparé par le vieil homme des années plus tôt. Le second monstre s'avança vers le Putré-fermier et le souleva pour le poser sur ses épaules. Les bras puissants de la créatures ressemblaient à deux tronc dans lesquels se cachaient un réseau d'os et de fils de mana noir. Mais malgré son apparence, la délicatesse de la créature était sans égale. Son dos formait une sorte de siège confortable fait d'os et de plantes. Le vieillard trônait là, fier, enjoué, pétillant comme un enfant s’apprêtant à découvrir le monde.

"Kijharn, Phallorn, faites vos adieux à la ferme, nous partons pour la ville."

Les deux serviteurs et leur maitre sortirent de la baraque en ruine et traversèrent le sentier marécageux. Derrière eux, un vieux panneau branlant marquait l'entré du domaine.

Ferme d'Harald Muid'hieb.

***

Assis sur une titanesque racine qui surplombait la ferme de ses ancêtres, il contemplait son oeuvre. Quarantes créatures faites d’ossements et de plantes. Son escouade. Jamais rien de grand? Elle verrait. Elle verrait ce que les vivants peuvent faire. Elle devait voir. Il devait lui prouver.
Son poing se serra et tous se redressent. Un garde-à-vous parfait. Ils faisaient tous deux bons mètres de haut et avaient la force d’un troll. Il les guidait par la pensé. Il voulait les amener à elle. La détrôner. Lui montrer que lui aussi pouvait commander une quantité de serviteur. Et les siens étaient grands, puissants, endurants. Aussi immortels que ceux qui sont déjà mort. Rien ne l’arrêterait, rien ne les arrêteraient. Elle devrait reconnaitre qu’il était un aussi grand nécromancien que les liches. Oui, il était au moins aussi puissant qu’eux. Le sang des Muid’hieb coulait dans ses veines. Le mana noire transpirait par tous les pores de sa peau.

Mais lorsqu’il voulut déplacer son armée réanimée, aucun ne bougea. Ils restaient là, immobiles. Aussi statiques que la pierre sur laquelle ils se tenaient tous. Il redoubla d’effort et son ordre raisonna dans leurs cervelles ramollies. Il vit une sève verte épaisse coulé de leurs nez et de leurs bouches.

Puis elle lui apparut, impassible.


Il faut mourir pour ordonné aux morts. Les vivants parlent trop vite.

Il sentit son corps entier se crisper. Et les créatures l’entourèrent, sans qu’il ait ordonné quoi que se soit. De frustration, et par fierté, il reprit le seul contrôle qu’il avait jamais eu sur ses créatures. Elles se disloquèrent toutes, s’écroulèrent comme de vulgaires pantins. Le mana vert et noir se dissipa dans l’air en sortant de leurs orbites vides et s’en fut fini de ses cinq années de préparation.

Encore un acte irréfléchi. Ils auraient fait de bon ouvriers, ils étaient bien bâtis. Tu as une affinité indéniable avec le mana noir. Dommage que tu ne puisse en voir qu’un versant.

Il ne pouvait pas répondre. Elle sentait. Elle savait. Elle était encore si parfaite, si belle et pourtant. Pourtant elle n’avait plus rien de celle qu’il avait aimé. Il la haïssait, comme on hait ces rêves de perfections intangibles qui nouent nos estomac au réveille.


Tu me les as pris.”

Elle le dévisageait. Elle n’avait pas à répondre. Il n’y avait rien à dire. Il avait tord. Il n’avait pas eu la force de contrôler ses propres créatures. Elle était de ceux qui sont morts. Pas lui. Il n’avait pas son talent. Il n’aurait pas son respect. Plus jamais. Pas dans cette vie.


Tu trouveras ta place, dans cette vie ou dans l’autre, Harald.

Elle était encore bienveillante. Condescendante même. Il ne pouvait rien y faire. Pour toujours, elle ferait partis de l’Essaim. Plus profondément et plus intimement que lui. Elle se comporterait comme une mère. Ce qu’elle ne pouvait pas être. Pas pour lui.

Il trouverait un moyen. Un moyen de la plié à sa volonté. De lui ordonner. A elle. Une liche sous le contrôle d’un nécromancien. Voila ce qu’il voulait. Sa descente vers les ténèbres, les voies qu’on ne doit pas emprunter, naissait d’un désir plus profond et intense que tout le reste.

Il lui lança un regard mauvais, et elle parut déçu. Puis elle disparut, sa forme éthérée se dissipant dans l’air.
Il n’avait que vingt cinqs petites années. Un nouveau née pour l’Essaim. Une larve qui devait encore grandir. Et c’est ce qu’il allait faire.
***

Caractère.
Harald est un humain sage, intègre et patient. Son grand âge et des années de solitude l'ont rendu quelque peu distant. Il a une forme de recul sur tout ce qui l'entoure. Cela dit, il a soif de découverte et la vie de la surface le passionne.

Il est très savant et son contrôle implacable sur deux créatures aussi massive que Kijharn et Phallorn laisse à penser qu'il a de très grand pouvoirs, même s'il n'en fait jamais étalage.

Description physique.
Harald est un vieil homme, il atteint les 133 ans, ce qui est tout à fait respectable pour un humain. Il n'a jamais prêté beaucoup d'attention à son enveloppe physique, la tradition considérant le vivant comme une forme d'enfance pour les Muid'Hieb.
De ce fait, il est très faible, sa peau est parcheminée et extrêmement pâle. Il devait mesurer dans les 1m80, mais le poid de l'âge et son mauvais maintient en font un vieillard rabougris qui n'a rien d'imposant. Il est d'une maigreur inquiétante et ses muscles sont très visiblement atrophiés.

Il y a pourtant quelque chose d'imposant chez lui. Son regard semble décortiquer l'âme de chaque personne qui le croise, ses deux yeux verts profonds reflétant une intelligence hors du commun. De fait, plutôt qu'un véritable charisme, son regard impose une forme de respect.
Il n'a que très peu de cheveux, ils sont long, blanc et très fins, on peut ainsi voir sans peine la forme de son crâne par transparence.

Il porte une longue robe noire et une capuche qui le protège du soleil, qu'il n’apprécie pas vraiment. Le sceau de l'Essaim est présent sur son paquetage, sur sa robe et gravé sur les plantes constituant ses deux serviteurs.
Pour une meilleure idée de ce que sont les serviteurs :

Harald Muid'Hieb, Putré-fermier. Magic_10



Caractéristiques :

F = 8
Co = 8
A = 8
I = 8+ 10  = 18
P = 8+ 10 = 18
Ch = 8+ 7 = 15


Dernière édition par Harald le Mar 28 Juin 2016 - 18:09, édité 1 fois
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Neelahn
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MessageSujet: Re: Harald Muid'Hieb, Putré-fermier.   Harald Muid'Hieb, Putré-fermier. Icon_m18Lun 27 Juin 2016 - 18:52

Ce nouveau personnage est effectivement très différent de Yarkol. Mais c'est cool, ça manquait d'anciens par ici ! Very Happy
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Elryann
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MessageSujet: Re: Harald Muid'Hieb, Putré-fermier.   Harald Muid'Hieb, Putré-fermier. Icon_m18Lun 27 Juin 2016 - 19:03

Merci Harald, parmi tous nos personnages beaux et musclés, de nous laisser du répit.

Fiche originale, hâte de jouer avec ton personnage !
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Équilibre, le Neuvième
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MessageSujet: Re: Harald Muid'Hieb, Putré-fermier.   Harald Muid'Hieb, Putré-fermier. Icon_m18Mar 28 Juin 2016 - 1:12

Ton personnage est intéressant, original mais pas à outrance, ce qui en soi est d'autant plus unique. Je précise juste que l'âge de Harald est mal estimé, l'espérance de vie des humains à Ravnica étant plus généreuse. Il me semble que Agrus Kos n'est pas encore décrépi vers ses 120 ans, arrêtez-moi si je me trompe.
En tout cas, bon courage dans la Cité-monde !

PS : La fiche est validée pour moi. Il faudrait juste, en attendant de se mettre d'accord sur le système, que tu donnes une idée de ce dont est capable ton personnage en matière de compétences magiques.
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MessageSujet: Re: Harald Muid'Hieb, Putré-fermier.   Harald Muid'Hieb, Putré-fermier. Icon_m18

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