Un petit peu d'épique (en cours d'écriture)

Alors le guerrier posa sa hache au sol et regarda celui qui y faisait face :

"_He bien... cavalier, que dire de ma surprise ! Mes hommes parle d'un géant montant un un lions ailé, tes ennemis parle disent que c'est le tonnerre même que tu brandis de ta main. Je ne vois qu'un manchot, sans armure, sur un canassons malade. Que dire de ma surprise ! Que dire de ma déception !"

Le cavalier passa songeusement sa main sur la poignet de sont épée. Il était manchot, de petite taille, avait le crane chauve à l’exception d'une mèche de cheveux a l'arrière, noué d'un lien de cuir.

"_Seigneur Asnard, sauf votre respect vos hommes ne sont qu'un ramassis de vieille femme, stupide et braillarde, vous et moi venons d'une autre génération, nous avons grandis dans la guerre, vos exploits d'hier, rendent ceux que j’accomplis aujourd’hui bien pâle.

Asnard passa sa main dans sa barbe blonde strié de blanc, il commençais a se faire vieux, il était davantage en age de commander que de combattre cependant une folle idée lui vint en tête, comme répondant en écho à tout une existence passé sur le champs de bataille. Ses bras frémir, et un sourire apparue sur sont visage. Il allait le faire, oui, il le ferait.

_Des mots juste Vanir, des mots juste bien que trop flatteur à mon gout. Cependant... Affronte moi guerrier manchot, confrontons nos légendes ici et maintenant sur cette steppe. Nos épée ferons trembler les dieux eux même en leurs demeures céleste !

Vanir fronças les sourcil en étant amené ici de force il ne s'attendais pas à sa. Que se passait il dans la tête de se vieux fou... Les hommes d'Asnard semblaient tout aussi décontenancé, ce ne devait pas être prévus... donc pas un piège a première vus... Cependant au milieux de l'armée du vieux seigneur de guerre si il le tuait, les hommes le laisseraient il partir ? Et pire si il faisait l’affront de refuser.
Il dégaina sont épée, la lame classique, peu être un peu plus courte que la moyenne, peut être. Aucune fioritures sur la garde ni le manche, juste Aesir gravé sur le pommeaux, la rune nordique de protection. Elle n'avait pas protégé sa main autrefois... et sa deuxième épée était condamné a resté au fourreau depuis.

_Souhaite tu que je fasse attacher un bouclier à ton bras gauche ?

Demanda le seigneur de guerre d'un air soucieux.

_ Ces choses sont lente, la protection offerte ne compense en rien la vitesse perdu. Je ferais sans.

Vanir rengaina soudain sont épée

_Mais le voyage à été dur et votre hospitalité est légendaire, aussi puis-je comme je suis le défié choisir l'heure du duel, a cette nuit ? J'aurais ainsi le temps de me reposé, et l'un de nous mourra sous les étoiles.

_Une belle mort en sois. J'accepte, mes hommes vont te monter une tente, désire tu du vin ?

_Je ne bois jamais avant de me battre.

_Des femmes peut être ?

Le souvenir d'Elia s'imposa a l'esprit de Vanir qui flancha et se mordis la lèvre.

_A la réflexion, j'accepte le vin."

Asnar eu d'abord l'air surpris puis éclata d'un rire tonitruant, avant de s'en retourner.

(En cours d'écriture je pense rajouté des ligne a chaque fois que je viens et qu'il n'y a personne sur la Chat box XD)

N'hésite pas à poursuivre, mais essaie de corriger les fautes d'abord, ce sera plus agréable pour ceux qui te liront.

Je tente ^^ je crois que c'est sa le plus navrant ^^"

Je suis du même avis que LD ! (au fait, Vanir, c'est un personnage d'Eragon, non ?)

heu... concrètement c'est possible... oui, oui sa en est un maintenant que tu le dit ^^" mais sa n'a aucun rapport pour le coup XDDDDDD

Etant moi-même un inconditionnel d'héroïc-fantasy, je me permettrait de dire qu'autant le contenant est à revoir - tournure des phrases, orthographe évidemment, etc. - autant le contenu est intéressant. La mise en scène est ma foi fort alléchante pour l'instant bien qu'encore une fois elle malheureusement un peu gâtée par le manque de relecture.
Carry on !

-_-' Je me fais l'impression d'un prof de français ...T-T

et le pire c'est que je l'est relut plusieurs fois ^^" c'est d'ailleurs pour sa que j'en suis navrée, l'orthographe et moi somme fâché comme un couple divorcé XD

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bon je commence la suite ici, histoire que ce ne soit pas toujours le même post éditée.

Le goût du vin enivrait la bouche de l'épéiste, et sa vision se faisait trouble, il n'avait finalement pas dormis et vidée au moins une carafe de trop... ou plusieurs. L'heure du duel était largement passé, et nul n'était venus le cherché encore, il avait vomis plusieurs fois et maculé de taches sa chemise poussiéreuse, sa bouche était pâteuse, il continuait de boire. L'alcool, l'avait déjà mis à terre, sont état ne semblait aller qu'empirant chaque instant.
Furieux, Asnard entra dans la tente, sont regard se posa sur Vanir. Le vieux guerrier se figea, crispé dans une expression de fureur froide.
Les garde du corps restèrent dans l'entré et le guerrier barbus s'assit sur un siège.

"_Regarde toi! Vanir deux crocs, le général d'Eressya... Vanir! Regarde toi, qu'est tu, qu'est ce que tu a fait!

Crachat le colosse d'un ton presque métallique. Vanir tenta une réponse, leva son moignon vers un objectif qu’apparemment lui seul voyait et s'écroula.

_Qu'ont l’emmène hors de ma vue! Lavez ce déchet, retirez lui sont arme et enfermer le comme le derniers des prisonniers.

Il se releva rageusement, retourna Vanir sur le dos, du bout de sa botte.

_Tu n'a dont aucune dignité. Tu n'est pas digne de te faire appeler un guerrier."

Sur le même pas enragé Asnard sortit, il n'avait plus de temps à perdre.
Du fond de sa demi conscience Vanir crus entendre une trompe, à moins que ce ne fut un cors, ou plusieurs... venant d’endroits différent. Il fut agrippé, puis lâché, et la chaleurs des flammes se fit sentir, une agitation ce faisait autour de lui... Il ne voulait pas savoir, il ne voulait plus rien. Elia... Ses paupières se fermèrent.

...


"_Seigneur Sirac, que devons nous avons le général, que devons nous faire.

_Il n'est plus le général, qu'ont le dépose dans une tente sous bonne garde, et que l'ont m'amène ses épées.

_Bien mon seigneur, mais... SES épées... il n'en avait qu'une.

_Voila autre chose... maudis soit il, amené la moi. Oh et laissez ses compagnons aux fers, il seront jugé pour leurs actes le moment venus."

Le monde bougeait autour de Vanir et sont estomac lui faisait un enfer. Les voies qui l'entouraient lui étaient vaguement familière, mais il n'était pas encore en état d'y pensé.
IL fut déposé sur une surface qui n'était pas trop inconfortable, et se crispa, il avait mal, sa tête lui faisait mal... à ce moment il n'aurait voulut que mourir, le monde tremblait sans bouger lui semblait il, une impression bien étrange, non c'était lui qui tremblait. Il sentit une couverture qu'ont étendaient sur lui et entrouvris un œil. Un solda sortait de la tente. Il y avait non loin un baquet d'eau, et une pile de vêtement propres. Il grimaça, retira sa tunique, et se traîna au baquet. Ou diable avaient il encore pus atterrir.