La taverne

Alors que je sortais de la taverne comme tous les soirs vers 22h, un homme habillé en noir me demanda de le suivre pour aller parler tranquillement dans un coin question de faire affaire, comme il ne me restait pas beaucoup d’argents je le suivis jusque dans un coin avec un lampadaire allumé. Il me dit:
"On m’a dit que tu cherchais de l’argent et que tu aimais le sang."
Je lui répondis oui étonné qu’il me connaisse.
Il sortit une carte avec une croix à un endroit de la carte
"Tu vois à l’emplacement de cette croix, c’est Tranerac, un emplacement où séjourne des wojeks qui n’osent pas trop approcher du territoire Rakdos. Lors d’une attaque Rakdos un wojek a assasiné un vieil ami à moi. Je te donne 25 d’or pour l’instant, je t’en donnerai 50 quand tu l’auras assasiné."
Tout bêtement, le lendemain je me mis en route vers la direction qu’il m’avait indiqué sur la carte. Le seul probleme, c’est que la carte qu’il m’avait donné n’existait pas. C’était une fausse carte ou une mauvaise carte mais c’était trop tard pour revenir sur mes pas, je m’étais perdu.
Quelle chance ! une maison de paysans ce trouvait à 3 pas de moi. Enervé par la mauvaise blague que m’avait tendu la personne en noir qui m’avait payé en avance, je défonçai la porte, pris un des paysans qui se réchauffait le long de sa cheminée, le pris par les épaules, le soulevai et lui demandai dans quelle direction se situait Tranerac, en le menaçant avec mon poignard.

"Tranerac dites-vous ? demanda-t-il d'une voix tremblante. Je ne connais aucun lieu de ce nom. Vous devez vous tromper. Ou l'on vous a fait une mauvaise farce, ou je ne suis pas au courant, mais je ne sais rien !"

Je ne sus me retenir et lui transperça le corp à l'aide de mon poignard.
Johann déserta la maison car il ni en avait rien à en tirer de ces paysans; il descendit la bute, il y avait un village caché derrière la bute.
"Quelle chance et ce paysan ne m'à rien dit."
Il alla se renseigner à l'auberge et avec une partis de l'argent qu'il avait gagné il s'acheta de l'alcool.
"Monsieur pouvait me dire oû se trouve Travernac; Si vous ne le savez pas il y aura des risques que je vous tue!!!.
Dit t-il d'une voix menaçente.

Ce petit humain avait osé l'insulter dans tous les cas il n'avait aucune chance, il ne savait pas à qui il avait affaire.
"Ils commencent à me faire chier celui là"
Johann prit ces deux poignards et en enfonça un dans le ventre d'un des grands hommes, le deuxiéme rèpliqua en voyant son collégue cracher du sang, il eut le temps de dégainer son arme lourde mais il était trop tard pour lui, Johann invoqua un Bouffon du démon qui l'avala la tête la première.

mj4 is dead?

[Hrp :] Sorry, j'avais pas vu ta réponse. Mea culpa. [/Hrp]

"J'ai dit : tout !" Sa voix s'était faite beaucoup plus forte et plus autoritaire. "Comprends moi bien, j'aime ni qu'on m'tienne tête, ni qu'on m'insulte. mais j'aime pas du tout qu'on réponde pas à mes questions !"

Après avoir fini de parler, il fit un signe de tête à un des quatre hommes qui tenait Johann. Ce dernier se rapprocha alors du rakdos, et lui saisit un bras.

"D'solé, j'ai r'in contre toi, mais t'avais qu'à pas toucher l'patron," lui grogna-t-il.

L'homme était un vraie brute, et Johann ne pouvait rien faire. Il sentit alors son bras tirer vers l'arrière, et il dû pratiquement se coucher à terre pour éviter qu'il craque. Il était tendu, et l'homme propulsa un énorme coup de pied dedans. Le rakdos sentit son bras se déboiter, et ce dernier retomba mollement sur le sol, cassé en deux. Tout débord, Johann ne comprit pas ce qui lui arrivait, mais peu à peu, il sentit la douleur remonter jusqu'à ses centres nerveux. Il se tordit de douleur par terre et poussa un cri du plus profond de son être. La douleur le terrassait. Pourquoi ? Il n'avait fait que lui casser le bras...

"T'apprendras à m'craindre, idiot. Mes hommes font pas que casser l'bras, ils ont aussi la manière d'enflammer la chair tout autour, et d'faire croire au cerveau que ta blessure est beaucoup plus grave qu'en vrai. En gros, tu vas morfler, et bien plus que tu l'crois. Et c'est pas près d's'arrêter. La douleur va d'abord envahir tout ton corps, pis on va continuer après si tu continue à la fermer comme ça. D'abord ton aut' bras, pis tes jambes, et si ça t'suffit pas, on t'passera au supplice final. Ca t'dit quequ'chose la torture d'la goutte d'eau ?

Alors parles si tu veux vivre. Ou garder toute ta tête..." reprit-il quelques temps après, alors que la douleur que subissait Johann ne faisait que s'accentuer, et devenait de moins en moins supportable.

ZZZzzzzz Vive la France :france:

"T'as intérêt à m'dire la vérité, c'est'à tête qu'tu risques ! J'tez le dans les geoles en attendant. Et allez m'chercher ce type. Je veux le voir c'soir, lança-t-il à deux de ses gardes. On n'cherches pas Traverac pour r'in. Encore moins pour un assassinat. L'a intérêt à parler ton gus, sinon c'est toi qui passes. T'm'as compris ?

Bon, bougez-le, j'veux p'us le voir..."

Les deux autres hommes saisirent alors Johann et le trainèrent à travers la taverne. Ils l'amenèrent dans la cave, et le rakdos put contempler le spectacle. Des dizaines de prisons, ou des dizaines de prisonniers y étaient entreposés.
Les deux gorilles le jetèrent dans une geôle où se trouvait déjà une personne. Gruul à en juger par l'apparence.

"T'es qui toi ? Et pourquoi t'es ici ?" lui lança la femme pendant que les deux autres hommes remontait lentement vers la taverne.

"On m'appelle la Foudre Rouge, reprit la femme avec plus de douceur cette fois. Ce que je fais ici tu dis ? J'en sais foutre rien ! Ces débiles m'ont capturé je sais pas exactement à quel moment, et je me suis retrouvé là. On a drogué ma boisson, il me semble." La femme marqua une pause et Johann vit la rage passer dans ses yeux. Ce n'était plus la femme ravissante qu'il avait devant les yeux quelques temps auparavant, mais une vraie tueuse. D'une beauté mortelle...

Elle se reprit rapidement, et lui répondit :
"Tu cherches Travernac ? Je connais pas grand chose là dessus. Un quartier mal famé de Rav je crois. En tout cas, j'en suis sûr, si on a voulu te faire aller là-bas on te voulait pas que du bien... Quand à s'échapper d'ici, bah regarde, aucun moyen de s'en sortir..." Johann jeta un coup d'oeil autour de lui pour la première fois, et comprit enfin : Il était dans une cellule. En bonne et due forme. de jolies barreaux devant eux, deux lits, chacun à l'opposé de l'autre, et trois épais murs sur chaque côté. La cellule faisait quelques mètres carrés à tout casser, et Johann se rendit compte que la femme et lui étaient pratiquement l'un sur l'autre. Comment deux personnes pouvaient donc tenir là dedans ?
"Peut-être en se jetant sur les barreaux tout les deux ont à une chance, mais je suis pas sûr... A la limite, la magie pourrait nous être utile... Malheureusement, je possède pas ce don. Le combat, ça me connait, mais tout ce qui est magique... Bon, je suis pas la seule en même temps. mais bon, des fois je me dis, deux trois rudiments, ça pourrait être utile."

"hum"*
*Quel genre de monstre pourrais-je invoquer pour tout détruire?*
"Je tente le tout pour le tout mais les chances que je m'évanouisse après sont bien grandes, recules toi ça va secouer". Johann commença par faire quelques gestes et un mana noir apparut dans ses yeux. Il épuisa toute sont énergie pour pour détruire la porte aidé d'un petit peu de magie mais comme il était beaucoup épuisé, les chances qu'il s'évanouisse sont grande. Quelques minutes plus tard Johann et foudre rouge avaient franchi les barreaux.

Wake up les mj!!!!

"Arf..."
Johann, reprit ses esprits, il ne savait pas par oû commencer le choc à la tête lui brulait, il attendit 3 minutes et finit par cracher des mots.
"Je suis d'une famille qui m'a abandonné à ma naissance, ce n'est que par mon propre père que j'ai appris la magie un peu plus tard, je finis en beauté mon apprentissage en finissant par invoquer quelque créature .Chez les Rakdos, nous, les sortilèges sont pratiqués par beaucoup de personnes. Pour survivre faire preuve d'un assassinat est l'un des seul moyen pour survivre".

"Récapitulons. Tu es un orphelin, et tu as appris la magie par ton père ? La question de Foudre se perdit dans la pièce, laissant planer un pesant silence de mort. Bien bien bien... Si t'arrêtais de te foutre de ma gueule ? J'aime pas jouer à ce petit jeu. Alors, tu vas réfléchir maintenant, et tu vas me donner une explication censé. Compris ? Parce qu'apprendre des choses de quelqu'un qu'on connait pas, à moins d'être un Dieu, ça ma parait difficile."